Les auteurs démontrent que toute manifestation culturelle et tout moyen de diffusion forment un système et que, face à celui-ci, aucune voix ne peut se faire entendre. Soumise à une logique extensive, l'industrie culturelle devient une industrie du divertissement. En outre, l'amusement n'étant que le prolongement du travail, celui qui en jouit se retrouve fatalement soumis au travail automatisé.