Les rameaux noirs : mnémosyne
Les rameaux noirs
« Le 16 août dernier j'ai accompagné mon père aux urgences de l'hôpital Cochin parce qu'il manifestait des signes de délire. À 89 ans il m'a montré un autre visage que celui que je connais. Peut-être l'avais-je aperçu enfant et m'avait-il fait peur...
Il n'est pas facile de se décider à écrire des romans quand on est fils de surréaliste, filleul d'Aragon, élevé dans un milieu à la fois littéraire et dédaigneux de tout ce qui n'est pas la poésie ou l'engagement personnel, parfois le plus extrémiste.
Deux ans après Eva, j'ai voulu revenir au mode de la confession et de l'autobiographie. J'ai décidé cette fois-ci d'aller au plus intime de tout effort littéraire : l'inspiration. Cette influence extérieure qui m'a poussé à écrire et que j'ai appris à entendre grâce à mon père. » Simon Liberati
Les Rameaux noirs disent l'expérience du feu qu'est l'écriture. En remontant aux beaux jours de son enfance, en décrivant l'impulsion qui touche les grands poètes d'hier et d'aujourd'hui, Simon Liberati livre à son lecteur un autoportrait saisissant.
Les libraires vous invitent à consulter
La première sélection du prix Décembre 2017
Par Isabelle Beaulieu publié le 27 septembre 2017
C’est au tour du Décembre de dévoiler sa première liste. La question que tous se posaient était de savoir si Un certain M. Piekielny se trouvait parmi les candidats puisque ce titre apparaît dans toutes les premières sélections connues jusqu’à maintenant. Eh! bien! Non, la chance est aux autres cette fois-ci, dont Simon Liberati qui […]
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